Au départ, les symptômes ont tendance à apparaitre d’un seul côté du corps. Cependant, les deux côtés peuvent finir par être touchés. Pour de nombreuses personnes, les symptômes fluctuent d’un jour à l’autre, la personne vit donc de bons et de mauvais jours.

La lenteur des mouvements, les tremblements et la rigidité des membres et la perte d’équilibre sont les symptômes les plus communs, ce sont des symptômes moteurs. Ils sont visibles par d’autres personnes. Il est rare qu’une personne présente l’ensemble des symptômes de la maladie de Parkinson. Pourtant, de nombreux symptômes invisibles, appelés symptômes non moteurs affectent tout aussi profondément les personnes qui vivent avec la maladie de Parkinson. Parmi ceux-ci, on retrouve la dépression, l’anxiété, la perte de l’odorat, la constipation, la démence et la fatigue.

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SYMPTÔMES MOTEURS

La maladie de Parkinson est une dégénérescence des neurones de la zone cérébrale responsable des mouvements musculaires. La perte de ces neurones entraine une diminution du niveau d’une substance chimique, appelée dopamine, occasionnant une moins bonne gestion des mouvements et l’apparition des symptômes moteurs suivants.

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SYMPTÔMES NON-MOTEURS

La maladie de Parkinson est associée à des symptômes comportementaux, neuropsychiatriques et physiques. Les symptômes non moteurs sont ceux qui ne sont pas liés au mouvement, ils ne suivent pas un ordre d’apparition déterminé. Ils sont fluctuants, variables dans le temps et peuvent survenir à tout moment, même avant que les symptômes moteurs soient identifiés.

Les symptômes non moteurs peuvent avoir une incidence sur la qualité de vie. Parmi ces symptômes, on retrouve la dépression, l’anxiété, la perte de l’odorat, la constipation, la démence et la fatigue.
Cependant, un bon nombre de ces symptômes ne se produiront pas et beaucoup de ces symptômes peuvent être contrôlés avec un traitement.